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It's close to midnight
Something evil's lurking from the dark
Under the moonlight
You see a sight that almost stops your heart
You try to scream
But terror takes the sound before you make it
You start to freeze
As horror looks you right between your eyes
You're paralyzedBien le bonjour mes effrayants petits pandas,
Je sais que vous attendiez ce poste avec beaucoup d'impatience, eh oui, nous sommes de retour pour un nouvel évènement artistique. Alors oui, vous allez voir, ce n'est pas un évent différent car beaucoup d'entre vous m'ont demandés de faire la même chose que l'année dernière, alors vu que je suis quelqu'un de super gentille hein qu'on se le dise… Bah je vais vous faire plaisir évidemment. Mais avant de rentrer dans le vif du sujet, votre rentrée c'est bien passés ? Vous avez retrouvé vos copains/collègues ? Bref, j'espère que vous êtes prêt pour cet évent et je vous y attends nombreux/se.
Introduction du projet
Donc, le concept est forcément simple. Je vous propose un nouveau travail d'écriture autour du thème Halloween et comme d'habitude, il ne faut pas faire de HORS SUJET. Votre texte doit être correct et non violent ; à vous de choisir les bons mots pour ne pas heurter les âmes sensibles. Pour les écrits, vos personnages doivent être fictifs si possible. Essayez de corriger votre texte au maximum afin d'éviter une lecture difficile.
DĂ©tails du projet
Vous devez créer un texte d’environs (hum, augmentons la difficulté contrairement à la dernière fois) 500 mots, votre création devra raconter l'histoire de votre/vos personnages lors de la nuit d'Halloween. À vous d'être le plus créatif possible. Vous pouvez (si vous le souhaitez) accompagner votre histoire d'une image/scénette que vous avez dessiné. Votre histoire doit être effrayante sans être violente ou gore. Votre texte doit être écrit le plus convenablement possible et doit être cohérent. Quand on le lit, nous devons comprendre ce que vous écrivez. Votre histoire doit contenir un titre obligatoirement ! Vous avez jusqu'au 8 novembre 00h pour écrire et publiée votre histoire. Le gagnant sera celui qui écriera la meilleure histoire de Halloween. Je compte sur vous pour m'effrayer au maximum.
Votre histoire sera Ă publier sous ce poste. Merci !
Pour voter
Comme d'habitude, ce sont les joueurs et les membres du staff qui élirons le vainqueur, il suffit de mettre un Like sur l'histoire qui vous plaît.
Je rappelle que tout commentaire haineux, méchant et/ou insultant seront sanctionnés. Le langage SMS ou abréger est interdit.
Sur ce je vous souhaite une bonne rédaction et j'espère que vous allez m'effrayer.
Ă€ vos clavier
#Wabby_ & #Panlyda
Édité par
Modo Panlyda
, dimanche 6 octobre 2019 à 18:39Édité par
Admin marcbal
, dimanche 6 octobre 2019 à 21:03Édité par
Admin marcbal
, dimanche 6 octobre 2019 à 21:04Édité par
Modo Panlyda
, mardi 8 octobre 2019 Ă 18:32 -
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Un dernier mot
Cela fait maintenant 5 ans que je suis journaliste, et j’ai « fais mes preuves » : des articles qui font écouler des copies, et plutôt souvent, même si cela ne me plaît pas plus que ça. Je pensais que le métier de journaliste n’était pas aussi hypocrite, même si la plupart n’ont pas le choix : vendre des journaux ou laisser sa place. C’est dans cet environnement que je suis monté dans les échelons, en me disant que je suis doué, et je ne sais toujours pas comment le prendre : est-ce que je suis doué à mentir ou à informer ?
L’histoire que je vais vous raconter date de mes débuts, où je ne faisais que commencer. On m’avait confié le reportage de cette horrible information, et la seule pensée qu’elle ne serve qu’à vendre des journaux et que mon chef ne la voie que comme un sac d’argent, une affaire en or m’avait dégouté et après avoir fini cet article, j’ai été tenté d’arrêté ma carrière.
C’était en Octobre 2001, la veille d'Halloween. À l’époque, un tueur en série était en fuite, et il avait choisi une nouvelle cible : un bus scolaire. 21 élèves. 2 professeurs. 1 conducteur. Une attaque simple. Il a tué les deux professeurs qui essayaient de protéger les élèves, et le conducteur. Il a ensuite emmené les élèves dans un chalet près d’une forêt, et les a gardés captifs pendant plus de deux semaines. Les horreurs et tortures qu’il leur a fait vivre dépassait tout ce qu’il avait fait, digne d’un film gore : rayures, phobies, coupures, maladies, brûlures, infamies, tortures, boucherie. Ce massacre fut stoppé par Julie, qui en réchappa avec un autre élève, Damien.
Je rédigeai cet article, en 2014, quand j’ai décidé d’aller voir ces deux personnes, qui avaient grandi depuis le temps. Julie, à l’époque du drame, était harcelé par des élèves. Elle avait fait une belle remontée : devenue chef d’entreprise, elle avait un mari, deux enfants, et menait une belle vie. Après lui avoir un peu parlé, elle m’a confié qu’elle avait été traumatisée pendant un moment, mais a réussi à ne pas se laisser abattre.
Damien avait eu moins de chance, même s’il avait fait partie du groupe qui harcelait Julie, ne méritait certainement pas ce triste sort. Il avait sombré dans l’alcool et la drogue, et je lui ai parlé dans son lit d’hôpital aux portes de la mort. Je n’ai jamais parlé de cet échange. Quand je lui ai dit que je suis journaliste, et que je voulais lui parler du drame, son visage était pétrifié d’horreur, il m’a demandé de ne rien raconter, de ne pas prendre note. Je l’ai seulement écouté. Et la phrase qu’il a prononcé ce jour-là , à propos de Julie, sa dernière, me frigorifie encore aujourd’hui :
-Elle a eu le tueur le premier jour…
(N.B. : Je me permets un petit Nota Bene pour apporter quelques précisions. Il m'a en effet été rapporté que l'histoire n'était pas suffisamment claire. Je vais donc récapituler pour que ceux qui n'avaient pas compris puissent le faire d'eux mêmes :
1- On sait que Julie est victime de harcèlement par les élèves de sa classe, et ce, avant les évènements racontés.
2- Il est aussi dit que le tueur a retenu captifs les élèves durant 2 semaines.
3- Enfin, lors de la dernière partie, Damien, le seul rescapé, dit que Julie a tué le tueur en série le premier jour, mais les élèves sont bien restés captifs 2 semaines
Vous avez maintenant toutes les clés pour comprendre... Joyeux HalloweenÉdité par
Premium Yenshi_27
, lundi 4 novembre 2019 Ă 16:54 -
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A LA UNE !
Ce soir j’ai enfin eu mon rendez-vous avec Marion, ça fait 1 mois que j’essaye de l’inviter. Je la retrouve à 20h sous le kiosque à musique où je l’ai vu pour la première fois. Elle était là , à attendre la fin de la pluie, dans un ensemble jeans t-shirt classique, mais impossible de décrocher mon regard de ce visage angélique. Ce soir pour notre diner au restaurant, elle porte une longue robe blanche. A la fin du repas, je lui propose de la raccompagner chez elle pour prolonger notre tête-à -tête au maximum.
A peine passé le coin de la rue, un vent glacé ce mit à souffler. « Tu veux mon manteau ? » lui demandai-je dès qu’un frisson la parcourue. « C’est gentil » dit-elle avec en souriant. A l’instant où je retire mon manteau je distingue, du coin de l’œil, un mouvement au bout de la rue mais lorsque je me retourne il n’y a rien du tout, je me dis que ça doit-être la fatigue qui arrive. Mais lorsque je me retourne Marion n’est plus là . Je commence à l’appelé en regardant tout autour de moi « Marion ? Marion ?! » mais aucune réponse, je ne la vois nulle part. D’ailleurs je ne vois personne dans la rue, pas une âme qui vive, seulement la faible lumière des lampadaires qui éclairent leurs pieds. Je commence par essayer de ne pas paniquer puis à déambuler dans la rue à la recherche de Marion, d’une personne, de quelqu’un ...
Après plusieurs minutes, ou peut être une heure, à traverser les rues désertes les unes après les autres, me retournant à chaque apparition furtive dans mon champ de vision, un énorme bruit sourd retentit, mélange d’un hurlement de douleur, de rage et de désespoir. J’observe les alentours à la recherche de la source de ce vacarme, mais impossible de la repérer, c’est comme si il venait de partout en même temps. Je choisis de changer de rue pour voir si ce brouhaha augmente ou diminue, mais rien n’y fait, il est toujours aussi fort et indétectable. Je ne sais plus depuis combien de temps je suis là , à tourner en rond dans des rues vides, accompagné de ce raffut et d’ombres furtives. J’ai l’impression de devenir fou, je parle tout seul, me réconforte, m’insulte, pleure, ri … Fatigué, à bout de force, je décide de me reposer quelques minutes contre une de ces étoiles sur pied, ma seule source de lumière jusqu’à maintenant.
Le calme, un silence paisible qui me permet enfin de vaguer à mes pensées. Soudain je me réveille en sursaut, toujours au pied de ce lampadaire. Un calme plat c’est installé, le vacarme est remplacé par un silence pesant, presque irréelle, les rues sont toujours vides et la nuit toujours à son apogée. Je décide de repartir à la recherche de trace de vie dans cette ville fantôme…
Journal du 1er Novembre :
Le corps d’un jeune homme retrouvé en pleine rue ainsi que celui d’une jeune femme dans une ruelle voisine, tous les deux poignardés en plein cœur.
Édité par
VIP Raksaas
, jeudi 31 octobre 2019 à 17:43Édité par
VIP Raksaas
, jeudi 31 octobre 2019 à 17:44Édité par
VIP Raksaas
, jeudi 31 octobre 2019 Ă 17:44 -
Le piège.
Durant cette froide nuit, nous suivrons les aventures de Jim et Nick, deux enfants chassant les bonbons la nuit d’Halloween… ces jeunes enfants de respectivement 12 et 13 ans ne savaient pas ce qui les attendait.
-Un bonbon ou un sort ! Demanda l’enfant en souriant au vieil homme venant d’ouvrir sa porte.
-Vas t’en ! J’ai rien pour toi ! Lui lança violemment l’homme en claquant la porte.
-Je te l’avais bien dit Jim , ça sert à rien d’aller voir l’Ermite, il dit jamais rien à personne ! Dis l’autre enfant.
Après ce dur refut , le plus jeune se tourna vers la droite, où le chemin se poursuivait.
-Bon , on fait quoi Nick ? Le chemin continu mais y’a plus de lumière , à ton avis, c’est une bonne idée d’aller voir ?
-Evidemment Jim ! C’est toujours une bonne idée de marcher pour des bonbons. Répondis le plus vieux en s’avançant dans le chemin obscur.
Nick alluma sa lampe torche , suivis par son jeune camarade non loin derrière lui. Jim était anxieux, son instinct lui soufflait de ne pas aller dans cette forêt morte à la faune hostile durant cette maudite, mais ni Jim, ni Nick, n’étaient motivés à écouter la petite voix du premier.
Les deux comparses avançaient sur le sentier mal dégrossis , sur leurs gardes , chacun de leur pas faisait craquer des branches au sol alors que d’étranges créatures se mouvaient dans l’ombres, observant les deux jeunes humains.
Une étrange brise se leva, faisant craquer et racler les branches les unes contre les autres , générant une étrange symphonie de râles et de cris venue de la cîme des arbres pendant que des milliers d’araignées tombaient sur nos jeunes aventuriers.
-Cette forêt est maudite Nick ! Partons avant qu’elle nous avale comme les disparus ! Le supplia le plus jeune , paniqué par l'atmosphère angoissante de la sylve.
-Ce ne sont que des légendes ! Tu les veux tes bonbons oui ou non ? Hé ben tu les aura, j’en suis sûr, si nous traversons cette forêt ! Doit bien y’avoir des maisons de l’autre côté non ?! Un chemin mène toujours quelque part ! N’est ce … pas ? Clama le plus vieux, de moins en moins convaincu à continuer. De toute manière nous sommes trop loin pour faire demi tour ! Avançons !
Et ils avancèrent … Ces si frêles humains avançaient dans une forêt obscure … Je ne pouvais qu’admirer leur courage. J’allais donc m’amuser un peu. Je leva la main et leurs lampes s’éteignirent , les laissant sans autre lumière que la Lune. Je baissa les bras et fit s’entrelacer les branches , créant cette même complainte qui leur fit se glacer le sang quelques minutes plus tôt. Rapidement , ils paniquérent, courant dans le sens de ce qu’ils pensaient être la sorti de la forêt. Le sol irrégulier les faisaient trébucher. Trop terrifiés pour dire un seul mot, ils couraient , trébuchants sur les racines et se blessants dans les terriers de lapins. Ils atteignent vite une clairière où les attendait leur Graal.
-Une … Boite de bonbon ? Lança Nick en voyant un piédestal.
-Oui ! C’est bien ça ! Et en plus on a de la lumière ! Tout est parfait ! S’enjoua le plus jeune, s’avançant vers le centre de la clairière.
-N’AVANCE PAS ! C’est trop étrange. Que ferait une boite de bonbon ici ? Laisse moi regarder.Le jeune homme s’avança vers le piédestal et trouva un papier sur la boite.
-Il n’y a écris qu’un seul mot sur ce papier Jim … un seul…
-Qu’est ce qui c’est ?
-”Courez.”
A ce simple mot, les deux enfants paniquèrent , ils se ruèrent vers la sorti de la clairière qui fut vite comblée par d’épais buissons de ronces. La pleine lune qui éclairait la clairière fut vite cachée par ces mêmes branches qui s’étaient auparavant écartées pour la former. Rapidement, l’ombre s’installer dans cette voûte de branche, où ces jeunes enfants étaient pris au piège. Je m’approcha des deux enfants. Les pris par la gorge et souris comme le prédateur que j’étais.
-Bonsoir jeunes humains. Et bienvenue dans le piège du Wendigo.